deux gabarits

Deux animaux n’évoluant pas en liberté : l’un dans un champ clos électriquement, l’autre dans une cage. L’un sera prochaînement relaché dans le champ de l’autre.

Publicité

Laisser pourrir et éviter de brûler

Hier soir, Nad parlait d’une manif à poil contre un projet d’incinérateur à Clermont-Ferrand (je ne sais pas si ce projet de manif est passé ou à venir, leur site n’est pas très à jour).
C’est la question de l’incinérateur qui me fait réagir. Disperser des tonnes de CO2 et de fumées toxiques en brûlant des matières qui pourraient être recyclées, ce n’est pas bien malin.

En fait, avant d’avoir écouté une certaine émission de radio (toujours écoutable là sur le site de France Cul),  les incinérateurs, ça ne me faisait ni chaud, ni froid. Mais depuis que j’ai entendu qu’on pouvait faire tellement mieux sans, j’en recause souvent.

Et comme par hasard sur le site des opposants à l’incinérateur, on peut lire le soutien de Dany Dietmann, qui explique si bien dans l’émission citée plus haut comment faire autre chose que des fumées toxiques à partir des « produits résiduels ».
Donc je republie sur la toile ces pages en papier du dernier C’est toujours ça, histoire qu’elles soient lues un peu + largement.

La suite est ici : http://grandpapier.org/lenon-61/c-est-toujours-ca?id_document=39165
Car c’est sur Grandpapier (et pas sur ce blog) que je republie des pages de CTC en papier, en vue de propager mes petites découvertes auprès d’un public mondial.

Ah, et le lien que je mentionne à la fin, pour les citadins qui veulent se faire un compost de balcon, la recette est sur le site des ensaders : http://ensaders.over-blog.com

Et que les fidèles lecteurs du CTC en papier qui n’ont pas encore reçu leur exemplaire 16 ne s’inquiètent pas, la distribution est en cours, elle commence toujours de la main à la main et se poursuit par voie postale.

souvenirs de vacances

les invités de Gentilly sont arrivés avant que je ne finisse de peindre le plat du barbecue.
Quelques jours après, à Crozon, j’ai pris un coup de soleil sur les pieds en dessinant les araignées.

Et une petite vue de la chapelle Notre Dame du Traon en prime, comme ça quelques-uns sauront avec qui nous étions dans le Finistère (indice dans les -rares- liens à droite).

Et tant qu’on y est, un petit tour par le chenal de Porsmeur

météo des vacances

Quelques éclaircies dans la Sarthe la semaine dernière, sur un champ de blé en passe d’être moissonné.

Quelques éclaircies également hier soir sur la RN20, au dessus des hectares de la Beauce
(il paraît que les céréaliers là-bas sont fortement incités à fournir du fourrage aux éleveurs d’ailleurs qui en manquent suite à la sécheresse)
(il y a trois siècles, il y avait aussi de l’élevage en Beauce, nous a rappelé un agriculteur mayennais, qui espère du fourrage).

La sécheresse, ici, on dirait que c’est fini.  Tout se respongifie.

On ne peut pas en dire autant de la Somalie.
France Cul évoque ce soir, parmi les raisons de la famine qui menace la corne de l’Afrique : la hausse du prix des matières premières. L’analyse de Richard Prost et Yves Billy dans Vers un crash alimentaire? ne m’a jamais parue aussi dangereusement juste.

Lectures choisies

J’ai fini le seizième « C’est toujours ça » en papier ces jours-ci.

J’y annonce officiellement ce blog que j’apprivoisais depuis quelques temps. J’entends y profiter de la place numérique pour parler davantage de livres appréciés.

Et je commence par une réédition, puisque j’ai déjà parlé de Peindre sur le rivage sur les pages de Grandpapier.

et la suite est ici.

ça va me botter un peu les fesses pour partager les bonnes lectures récentes.

Ah, et l’avantage de ce blog, c’est ça : hop, un lien vers le site de l’éditeur.
et le premier qui envisage d’acheter ce livre ailleurs que chez un libraire indépendant, je le dénonce à hadopi, même si ça n’a rien à voir.
(rappel : les libraires indépendants font aussi de la vente en ligne, par exemple ou ou … )