C’est le deuxième soir que je descend le chemin, suivie par le chaton sautillant en crabe la queue en point d’interrogation
(signe d’intense activité et d’un peu d’appréhension du vaste monde).
Je vais simplement dessiner un bout du crépuscule et une tranche de champ, mais l’aquarelle m’englue dans les effets pâte de fruits.
La faute à Tapette, sûrement, qui, lorsqu’il ne grimpe pas à un arbre trop haut pour lui, court après le pinceau.
(et je remarque qu’il peut doubler de volume en 2 secondes)
Après quoi, nous retournons au bureau, en sautillant en crabe et en remontant la pente.