Forcément, ça peut tourner à l’obsession du grignotis nocturne.
Est-ce celui-ci qui a boulotté mes cartes postales et les graines de potimarron conservées imprudemment dans un tiroir du bureau ? Il a été relâché, comme les autres, à un bon kilomètre de toute habitation (et comme à chaque fois, on se demande si c’est assez loin).