Les tomates cerises (une de mûre, mi-septembre) ne dépassant pas la taille d’une bille. Néanmoins issues des fruits chus l’été passé (plant creusois, troisième génération)
Les tomates de variétés anciennes, récupérées à la bourse aux plantes du village, des plants bio dont j’ai perdu les noms et qui ont réussi à pousser malgré l’entretien irrégulier, les chevreuils, le plein air, le printemps hivernal, le mildiou.
Il y a parmi elles des cornues des andes, des roses de berne, des coeur de boeuf. Mais les plants se sont mélangés, et j’ai perdu le nom des plus productives, barbapapamorphes et goûtues même à moitié vertes.